Mon stage de chir plastique

Mon stage en Chirurgie Plastique

 

Salut à tous ! Et oui ça faisait longtemps que j’étais pas venu donner des nouvelles par ici. La faute au temps, à tous mes examens, aux soirées et à un tas de trucs (dont la flemme oui mais ça vous ne l’avez jamais lu, les mots ce sont déjà effacés de votre mémoire n’est-ce pas hein. Flemme ? Qui a dit flemme ? Personne !) Bouhhh honte à moi ! Ok j’admets ma défaite face à tous les lecteurs courroucés. D’ailleurs j’en profite pour vous remercier, vous qui êtes plus de 250 par jour à venir faire un tour sur le blog avec même des pics à 400 visites parfois ! C’est juste incroyable ! Alors merci !

Bon le moment des remerciements coulants (pire qu’un vieux fromage moisi) est enfin passé, on va pouvoir attaquer l’essence du billet. Je vous préviens je carbure au sans plomb 95 ! Ok voilà le moment de la blague pourrie (bah oui, what did U expect ^^) elle aussi passée on va vraiment pouvoir commencer le billet ! Billet que j’ai volontairement mis un peu de temps à écrire (je vous entend toussoter là, ok oui un peu de flemme aussi) pour pouvoir parler un peu des patients à distance de leur hospitalisation (bien sûr secret médical et tout le reste sera respecté surtout que j’essayerai de rester général) et aussi pour une raison que vous lirez en toute fin d’article.

 

Alors de quoi vais-je vous parler ? Et bien de mon stage en Chir (la petite abréviation des familles qui me fait sentir médecin alors que je ne le suis pas) Plastique ! Oui ok, c’est pas comme si le titre n’était pas déjà assez explique. J’admets oui ! Alors comment ça marche tout ça ? Et bien en D1 chez nous en tout cas, on est séparé en 3 groupes depuis la P2 en fonction du niveau d’anglais. A. B. C. Et ainsi sur 3 mois on tourne entre 2 stages et une période communication/anglais. Pour ma part je suis tombé sur un stage médico technique en biochimie suivi de la MPR (médecine physique et de réadaptation) pour le stage de sémiologie en P2.
Cette année on a un stage de chirurgie et un de sémiologie au S1. Puis là nouveauté, on S2 on a un nouveau stage, le stage de pré externat qui se faisait autrefois durant les vacances d’été ce dernier étant remplacé par un stage d’été. Donc en gros un stage de plus durant l’année juste avant les révisions d’un méga exam des familles, tu piges ?

 

Pour mon stage de chirurgie, pas besoin de dire où c’était (bon allez je le redis pour les moins attentifs, vous le faites exprès ou quoi ? C’est en Chir Plastique) en septembre, puis en octobre la période anglais et cours de communication et là arrive en novembre mon stage sémiologique en néphrologie (les reins, le système urinaire toussa toussa). Bon, le cadre est posé je crois, tant de passer au fond du billet, attention c’est profond !

 

Le stage de chirurgie plastique est reparti en 3 secteurs :

  • Les consultations ou l’on suit un médecin durant ses consultation sur la matinée. EN gros on se pose dans un coin, on fait un grand sourire au patient si celui-ci accepte qu’on reste durant la consultation (si le médecin le demande ce qui n’est pas systématique mais bon c’est un autre sujet que je traiterai bientôt) et on écoute sagement en posant si on le peut quelques questions entre 2 patients ou 2 photocopies
     
  • L’hospitalisation où l’on trouve tous les patients qui vont se faire opérer ou qui reviennent du bloc. Là selon les internes on a un peu plus de boulot. La dernière semaine, j’avais un interne ultra cool qui avait fait une fiche pour nous cadrer dans nos «  missions ». On avait chacun 2 ou 3 patients dont il fallait récupérer le dossier en naviguant entre le dossier médical papier avec les mots des médecins traitants, les précédentes interventions, examens complémentaires etc… et le dossier infirmier, sans oublier de passer par l’ordinateur pour les trouver d’autres papiers encore comme des compte rendus d’hospitalisation, des biologies etc… Puis il faut tout synthétiser en rédigeant une observation (la phrase culte chez nous : «  il faut mettre un mot dans les observations » Si vous ne comprenez pas c’est normal, y’a que chez nous qu’on pige la private joke comme on dit, bref revenons à nos moutons).

Ceci fait, on présente le patient à l’interne avant la visite de manière la plus claire possible (j’ai encore des progrès à faire haha). Ce dernier va nous expliquer ensuite s’il a le temps la pathologie de la personne qu’on ira ensuite voir. A nous ensuite d’aller le voir de temps en temps et bien sûr à chaque fois de tout noter dans les observations. A nous de faire les papiers de sortie, arrêt de travail, bon de radio etc que l’interne signera après vérification

  • Enfin, si on appelle ce stage un stage de chirurgie, logiquement il y a le bloc. Ou plutôt LES blocs. Car il y en a un au 7ème étage, le bloc froid pour des patients qui resteront hospitalisés par la suite et le bloc ambulatoire ou rez de chaussé pas loin des urgences pour les personnes repartant dans la journée (ça coute moins cher à la SECU donc on en fait de plus en plus). Et pour le coup on a de la chance car on a beau être en stage de chirurgie et bien incroyable certains stages de chirurgie n’ont pas de bloc opératoire ! Par exemple tous ceux en urgence ne feront que le tri des patients pour les orienter vers le bon service. Et les D1 qui y étaient étaient carrément dégoutté, l’impression de s’être fait volé leur stage de chirurgie. J’en connais même une qui a envoyé des mails à tous les chefs de service pour pouvoir venir au bloc sur son temps personnel ! (grosse dédi à elle en passant, c’est une personne géniale !)

 

Ce qui est vraiment intéressant c’est qu’en naviguant entre les différents secteurs tel un explorateur médical, on peut revoir des patients vu d’abord au bloc, puis hospitalisés en hospit avant d’être revu un peu après en consultation. On peut donc «  suivre » le parcours de la personne du début à la fin ce qui est passionnant. Tu passes en consultation, tu regardes le nom de la prochaine patiente et tu te dis, ah mais elle je la connais ! Je sais exactement pourquoi elle est là, ce qu’elle a eu comme intervention, ses antécédents etc…

Lors de ce stage on était en tout 8 externes. Enfin 3 D1 dont moi (on est pas vraiment externe donc), deux D3 super sympa et 3 D4 qui l’étaient moins. Du coup le premier jour on s’est reparti entre les services. On a essayé sur les conseils des externes (les vrais quoi, pas les imposteurs que nous étions nous les D1 ^^) de se mettre 2 semaines au bloc, 1 en hospit et 1 en consult. Pas de bol, la responsable de stage en a décidé autrement. Au final on a fait 1 semaine de bloc, 1 de consult et 2 d’hospitalisation chacun (les externes restant eux 7 semaines et s’étant répartis différemment sans compter les gardes). Et oui car il y a dans le service :

  •  la chef de clinique qui s’occupe des externes, nous a donné un carnet de stage à remplir des cours à préparer tous les mardis (enfin pour les externes qui seront en plus évalués par des QCM à la fin de leur stage, ça ne rigole pas hein ^^) ainsi que des cas cliniques à faire (ça on y a pas échappé nous les D1). J’ai choisi le cas d’un patient qui venait pour un phlegmon de la gaine des fléchisseurs (en gros ça s’infecte dans le doigt dans une gaine ou coulissent des tendons et si on appuye sur un endroit précis en fonction de chaque doigt, au niveau du cul de sac pour être précis, et bah ça fait mal. Il faut opérer pour nettoyer, faire des prélèvements pour savoir quelle bactérie est responsable puis traiter par antibiotiques. Apparemment mon diapo a eu du succès puisque la médecin m’a dit que c’était pas mal !
     
  • la chef de service qui part souvent en congrès, passe à la radio, anime  des débats et préside le staff. Ah oui bien sûr j’ai oublié d’en parler tous les matins à 8H, il y a une réunion avec tout le service côté médical (donc pas d’infirmière, d’aide-soignante ou de secrétaire, que les médecins, les internes et les externes) où l’on parle des patients pour que chacun soit au courant un minimum de tout et discuter des meilleures stratégies thérapeutiques à mettre en place etc... Et ce staff est logiquement présidé par la chef de service qui est d’ailleurs professeur à la fac de médecine et que j’aurai en cours !
     
  • les médecins (ou plutôt chirurgiens) qu’on voit opérer, parfois passer en hospit si l’interne a besoin d’aide, ou d’avis sur les pansements et que l’on suit en consultation
     
  • et les internes pas encore médecins mais qui abattent un travail considérable en gérant l’hospitalisation presque à eux tous seuls et qui accompagnent les médecins au bloc pour les assister (et apprendre en même temps vu que c’est un compagnonnage), et parfois aident en consultation pour remplir le dossier avec le motif de venue, l’examen clinique etc en voyant le patient avant le médecin qui arrive et dispose de tous les élements pour décider de la suite sans perdre de temps. Parfois aussi, il arrive qu’ils consultent tout seul.

 

Bon je pense que vous commencez à voir le service prendre forme. Reste un dernier élément du décor à mettre en place : Il faut aussi savoir que ce service fait partie des quelques SOS main de France. A la pointe de la technologie, capable d’opérer de manière microscopique avec des internes sur spécialisés. Capable d’assurer 24H sur 24H une permanence pour les urgences de la main avec de grands experts reconnus. Des médecins viennent du monde entier se former ici. Actuellement, un des internes vient d’Amérique Du Sud (mais il a appris le français et se débrouille pas mal). Il n’y a pas de médecins spécialisés dans la main dans son pays, ainsi quand il rentrera diplômé du collège Français de chirurgie, éventuellement du diplôme européen, il pourra créer une structure spécialisée et même former les futurs jeunes dans son pays. Autant dire qu’il deviendra un immense spécialiste reconnus dans son pays ! Et cette formation, appartement, billet d’avion etc c’est lui qui se la paye sur ses fonds propres (même s’il est bien sûr payé en tant qu’interne, c’est-à-dire un smic, pas un smic horaire hein mais un smic que tu fasses 60 ou 70H c’est pareil. Bien sûr un interne débutant sera moins payé qu’un interne presque médecin mais dans tous les cas, ils sont bien moins cher qu’un médecin et travaillent dur.) Du coup ce pôle de la main a été l’occasion d’assister à pas mal d’opérations intéressantes !

 

 

Qu’est-ce que j’ai pu voir comme pathologie ?

 

(Bien sûr je vais surtout parler des maladies, un peu moins des patients mais ça ne veut pas du tout dire qu’on oublie la personne derrière sa maladie, on soigne d’abord des malades et non des maladies).

  • Plusieurs opérations de DIEP : Deep Inferior Epigastric Perforant (je crois). En gros pour les patientes ayant subie une intervention d’ablation mammaire, on peut proposer une reconstruction par cette technique de lambeau. On va brancher un morceau de peau et de graisse prélevé sur l’abdomen avec les artères perforantes venant de l’épigastrique inférieure sur l’artère mammaire interne. Du coup il faut ouvrir le ventre et la poitrine et même casser un bout de côte (un tout petit bout hein no panic). Puis suturer les artères par de la microchirurgie (ce qui n’est pas faisable partout). Dit comme ça on n’a pas l’impression que c’est grand-chose mais cette intervention dure plus de 6/7H avec 3 chirurgiens et un interne !
     

J’ai assisté à une opération de ce genre, (vous savez l’externe qui se met sur l’escabeau et observe en silence espérant que les profs ne lui posent pas de question, bah ça c’est moi ^^). Elle commençait à 8H30 et quand je suis partit à 13H30 et bien ce n’était toujours pas fini. Je n’ai pas réussi à retenir le nom des instruments de chirurgie, ils se ressemblent tous teeellement ! Malheureusement, cette opération malgré toutes les précautions ne peut pas forcément réussir et une patiente en hospitalisation a eu des complications avec embolie pulmonaire vue au scanner (le jour de mon examen d’hormono-repro) et d’autres soucis dont le moral. Car c’est très dur tous les sacrifices à faire pour rien. J’ai essayé de discuter avec elle dans sa chambre, d’apporter ce que je pouvais apporter, c’est-à-dire juste une présence à cette personne courageuse et adorable
 

  • Un lambeau de Mac Grégor : pareil on va prendre du tissu avec l’artère mais ici au niveau de la main qui va se retrouver «  scotchée » à la hanche. EN effet sans vascularisation les tissus vont être nécrosés !
     
  • Des réductions mammaires : au bistouri et au scalpel, les chirurgiens vont retirer de la graisse mammaire. Pour que ça ne soit pas considéré comme de la chirurgie esthétique mais plastique (remboursée par la SECU), il faut retirer au moins 300g de chaque côté ! L’opération que j’ai pu voir a retiré plus d’un kilo 300g de chaque côté ! Impressionnant à vrai dire ! Derrière il faut refermer avec du fil résorbable. Sauf que pour les personnes noires ou les fumeurs, la cicatrisation est moins bonne, il a fallu ici utiliser du fil de fer plus cassant, moins malléable et dont les points seraient à retirer plus tard (ce que j’ai pu voir ensuite en consultation vers la fin du stage !).
     
  • Une fascite nécrosante. A vrai dire la seule urgence vitale qu’il est possible d’avor dans ce secteur. La peau va avoir plusieurs couches : l’épiderme, l’enveloppe externe puis le derme un tissus conjonctif et enfin l’hypoderme. Encore en dessous enveloppant les muscles il y a le fascia. Et bien on arrive jusqu’à ce niveau de profondeur où tout est pourri ! Il faut traiter en urgence et retirer le tissu mort suivi d’une greffe de peau. Les techniques sont incroyables, on prend un petit bout de peau sur la cuisse par exemple que l’on peut étendre et greffer.
     
  • Des phlegmons (je l’ai déjà expliqué tout à l’heure ^^)
     
  • Des arthrodèses où l’on va souder au niveau du poignet par exemple des petits os pour limiter une douleur bien que l’on perde en mobilité
     
  • Des syndromes du canal carpien où l’on a des tendons qui sont compressés, du coup ça fait mal !

Et bien d’autres pathologies (trop long à décrire et vous le savez je suis un flemmard ^^ et puis cet article me semble déjà assez long vu que je suis en train de le taper depuis 2H ! ^^)

 

J’ai aussi eu la «  chance » de pouvoir accompagner une fois la chef de service absolument géniale en consultation pédiatrique pour voir des kamptodactylies, klinodactylies (jolis noms barbares hein), des personnes avec des doigts en sous nombre, surnombre, des os de l’avant-bras fragilisés etc… Et pour le coup avant chaque patient, la chef prenait quelques secondes pour m’expliquer la situation. J’ai vraiment apprécié ! Bon bien sûr du coup je suis sorti à 14H (au lieu de 12H30 habituellement) vu le nombre élévé de patient et le retard pris. Et encore la chef de clinique derrière devait enchaîner les consult adultes sans laps de temps pour manger. Autant dire qu’elle l’a bien fait remarquer aux secrétaires que c’était la dernière fois qu’on lui faisait un planning démentiel !

 

Ah oui au fait avant que j’oublie ! Finalement le dernier jour j’ai eu l’autorisation de m’habiller et aidé d’une des externes en D3 très pédagogique et adorable, j’ai réussi !

 

Qu’est-ce que j’ai pensé du stage ?

 

Bon je commence à fatiguer alors il est temps de conclure ! J’ai vraiment beaucoup aimé naviguer entre les services, j’ai vu le fonctionnement de l’unité dans sa globalité, j’ai vu de nombreuses pathologies, j’ai  appris à mettre des mots dans les observations, à réunir des infos pour les présenter à l’interne, j’ai côtoyé des chirurgiens tous sans aucune exception sympathiques et pédagogues alors que je m’attendais à être pris de haut, et bien ce ne fut absolument pas le cas. Est-ce dû au fait qu’il y a peu d’urgences vitales, qu’il y a une mentalité particulière dans le secteur ?

J’avoue ce dont je ne suis pas fier qu’il m’est arrivé parfois d’arriver un peu tard au staff du matin sans que ce soit tout le temps (heureusement).

Quoi qu’il en soit, personne n’a vraiment été désagréable avec moi. Personne ? Oui personne, enfin personne dans le personnel médical, paramédical ou même les secrétaires. En effet, il faut bien dire que les externes de D4 ont été particulièrement désagréables. Se moquant de certaines remarques, me donnant l’impression de passer pour un idiot à côté d’eux, ne s’occupant pas des externes et déformant la réalité après mon départ auprès des nouveaux D1 en stage. Heureusement qu'il y avait les D3 (en 5ème année donc) qui ont été géniales et m'ont apprit pas mal de trucs et puis surtout une des 2 m'a aidé à m'habiller pour la première fois (le dernier jour après un premier échec avec une D4 - voir le billet habillez-vous rhabillez-vous ^^).

En tout cas ce stage m’a énormément plu dans l’ensemble et même si je ne souhaite pas devenir chirurgien par la suite, je ne regrette pas d’être passé dans le service ! Et maintenant (enfin lundi prochain) on attaque la néphro ! Si j’en ai le courage je relirai avant de venir en stage rapidement tous mes cours de P2 sur le sujet !

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Commentaires

  • Peace
    • 1. Peace Le 06/11/2016
    Un billet très intéressant surtout quand tu cites les maladies, on apprend pleins de choses !
    Je crois que tu parle des D1 qui sont en stage après toi car les P2 ne sont pas en stage en ce moment non ? Pour ce qui est de ta petite mésaventure avec les externes, ne te prends pas trop la tête,tous les étudiants ne sont pas comme ça, les externes sont parfois un peu mauvais quand ils se font remontés les bretelles: cet amertume les rend un peu piquant avec les étudiants plus jeune mais je te trouve un peu susceptible non ? ce n'est pas une insulte qu'on soit clair :D Mais c'est juste que quand on arrive en retard en stage c'est toujours compliqué de ne pas avoir de remarques derrière, ça fait une excuse pour tout ceux qui t'en veulent déjà ... Et d'après ton blog, tu n'habites pas très loin de la fac donc de l’hôpital n'est ce pas ? du coup si j'ai un conseil à te donner c'est d'essayer de ne jamais être en retard pour ne pas donner la satisfaction à tes détracteurs de te déstabiliser . et ne sois pas trop susceptible ça t'aidera dans ta vie futur :P
    • docjunior
      • docjuniorLe 07/11/2016
      Oui c'est ça des D1. Disons que ce qui ne m'a pas plu c'est d'apprendre ce qui se disait par derrière sans avoir le courage de le dire en face malgré les quelques remarques où on m'a bien fait sentir qu'on ne m'appréciait pas. Alors que ça c'était toujours bien passé avec les externes dans les autres stage et même avec les D3 ça allait nickel et elles ont été hyper cool. Alors oui peut être ai-je été un peu trop susceptible quand j'ai entendu ça pour de mauvaises raisons ou des détournements de vérité. Après ça ne me prend pas plus la tête que ça, ça m'a dérangé sur le moment où j'ai écrit l'article peu après le stage mais depuis je ne suis pas en train de le ressasser sans cesse non plus et c'est déjà derrière même si j'en ai parlé ici. Et je souhaite à tout le monde une bonne continuation dans ses études et déjà à l'ECN.

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