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ENGAGE-TOI !

En médecine comme dans beaucoup d’autres choses il y a un problème, une chose que je regrette profondément, que je trouve autant triste que dommage.

En une phrase c’est le « je laisse les autres faire pour moi et je prends », «  si ce n’était pas lui qui le faisait ce serait un autre ».

Vous avez compris de quoi je parle ? Peut-être pas encore. Je parle des trop rares étudiants engagés au service des autres, d’une majorité silencieuse qui se préoccupe surtout des examens et des soirées. Après tout pourquoi pas ! Je n’ai rien demandé moi diront-ils. Et puis je n’ai pas envie de m’investir, de m’engager pour quelque chose et c’est mon droit le plus strict.

Et ils auront raison. Et tort !

Des fois nous français adorons nous plaindre, dire que tout va mal et que c’est la faute des politiques exclusivement. Oui peut être mais vous que faites-vous au quotidien pour que la France aille mieux ? Est-ce que vous vous contentez de rester assis devant la télé à la regarder ou est-ce que vous agissez ?

Et bien dans la vie étudiante c’est pareil. La majorité préfère se concentrer peut être à raison sur ses études. Et d’ailleurs je suis la preuve que concilier associatif et études (de médecine qui plus est) n’est pas toujours facile. Pourtant c’est tellement important, capital, essentiel.
Laissez-moi vous convaincre que non, nous qui nous nous engageons pour les autres, pour vous ne sommes pas des fous qui rateront leur études sans rien en retirer. Laissez-moi vous expliquer pourquoi on peut leur dire merci et encore merci. Et pourquoi c’est important de ne pas nous laisser tout porter tout seul ce poids, cette tâche, cet engagement qui est autant un plaisir qu’une nécessité qu’un poids. Non, ne vous dites pas que tout est du et qu’il y aura toujours un autre pour le faire car ce n’est pas vrai. Non, ne vous désintéressez pas de l’univers engagé qui gravit autour de vous sans que vous le voyiez parfaitement ou vous rendiez compte pleinement de ses effets.

On minimise parfois l’importance de cet engagement, souvent on l’oublie, d’autres fois on se voile les yeux et on laisse couler. C’est pourtant une richesse essentielle de notre pays, celle de la société civile engagée, du tissu associatif qui mènent un nombre incalculable d’actions indispensable au vivre ensemble, au dynamisme de nos villes en allant d’actions solidaires envers les plus démunis, à l’accompagnement de personnes isolées, à la création de projets, de défense de l’environnement, ou bien d’animation de la vie étudiante, de représentation politique.

Laissez-moi vous convaincre, en parlant de moi, de ce que je connais, de ce que je vis tous les jours mais n’oubliez pas de partir de mon exemple qui peut et doit être transposé à toutes les couches de société qui nous entourent. Je n’en suis qu’une seule parmi un tout, une strate dans la falaise, un paragraphe dans le texte…

 

 

Pour illustrer je vais parler de ce que je connais, c’est-à-dire mon environnement, les associations étudiantes qui gravitent autour de moi, dont les actions m’impactent positivement tout comme des milliers d’autres étudiants autour de moi. Je vais donc essentiellement vous parler de notre association à nous les étudiants en médecine, notre association corporative.

Souvent on ne s’en rend pas compte mais on bénéficie de tellement d’actions que la majorité décide d’ignorer.

Sans corpo, il n’y aurait pas de soirées étudiantes qui se négocient durement avec les propriétaires de bars et boites de nuits. Pour les étudiants, par des étudiants. Mais aussi des soirées bon enfant autour d'une wii, d'un babyfoot, de blind test ou de jeux de culture G

 

Sans corpo, il n’y aurait pas des dizaines de partenariat permettant à leurs adhérents d’obtenir des tarifs préférentiels en boutiques, restaurants, bars. Ni de jeux concours permettant de gagner des livres indispensables à nos études.

 

Sans corpo, Il n’y aurait pas de sorties culturelles, de jeux entre étudiants à tarif préférentiel dans des lieux comme le brainscape, il n’y aurait pas de grosses réductions pour des clubs de toutes sortes à l'inscription.

 

Sans corpo, il n'y aurait pas de Gala Médecine de fin d'année, un immense évènement qui se prépare des mois à l'avance pour trouver le meilleur lieu avec les meilleurs prestataires (traiteur, open bar, DJ, car pour ceux qui n'ont pas de voiture) au meilleur prix et tout gérer

 

Sans corpo, on ne pourrait pas partir dans des voyages organisés tout prêt entre étudiants. Au ski chaque année par exemple pour des prix défiant toute concurrence, tarif étudiant pour budget étudiant. Quand je dis qu’il faut vraiment remercier les organisateurs pour leur incroyable travail et investissement et que j’entends qu’après tout si ce n’était pas untel qui s’était proposé un autre s’en serait occupé et qu’il était de toute façon volontaire pour le faire. Oui peut être mais en quoi ça lui retire ce mérite ? Puis il y a l'organisation avant, pendant et après, gérer les problèmes, demander des remboursements aux organisme de voyage pour les services non satisfaisants etc (vous imaginez le boulot ?!)

 

Sans corpo, on ne pourrait pas partir faire des stages à l’étranger dont l’organisation est extraordinairement prenante et demande un investissement des responsables qui doivent s’occuper d’organiser et le départ des français, de faire valider et reconnaitre le stage et d’accueillir les étranger pour le retour, les répartir, vérifier qu’ils ont tous les documents, leur faire un planning d’activités dans les périodes hors stages, trouver des fond pour amortir les couts et donc faire des ventes de gâteaux par exemple etc…

 

Sans associations de la fac, la solidarité ne pourrait s’exprimer. Toutes les actions à l’étranger pour aider les enfants à aller à l’école, à se soigner. Toutes les actions solidaires sur le campus entre don du sang, actions de prévention auprès des étudiants, des lycéens et même d’enfants en maternelle.

 

Sans corpo, on ne pourrait pas défendre les intérêts des futurs médecins, nos futurs intérêts. Et tout le monde ou presque s’en fiche, voit ça de très loin alors que ça nous concerne au plus prêt. Reformes à venir, propositions sur le fonctionnement du système de santé, notre formation, volonté de créer un tutorat pour les externes, forum d’orientation réorientation pour P1, porter la voix des étudiants auprès de l'université dans les conseils d'administration, au Crous etc....
--> Je prends un exemple : la Comue qui est un organisme ayant pour but de faire rayonner la faculté de normandie. On décide donc de mutualiser des poles. Par exemple créer un grand pôle médecine à caen ce qui pourrait aboutir à la suppression du site à Rouen ou forcer les gens à se déplacer très loin pour les stages ce qui est inenvisageable

--> Autre exemple, il y a eu des amendements, des propositions de lois pour limiter fortement la liberté d'installation, sans les élus locaux relayés au national, les futurs médecins n'auraient mot à dire
 

Sans la corpo, on ne pourrait pas ***** ********* (grosse grosse surprise pour certains étudiants de notre fac, un immense truc dont je ne peux pas parler ici car seuls les membres de la corpo sont au courant et qu'on a pas lancé la comm officiel mais c'est énorme !)

 

« Sauf que moi je veux juste être tranquille et je suis très content que d’autres s’en occupent pour moi »

Mais si tout le monde raisonnait de la même façon, il n’y aurait plus personne. Ce sont déjà souvent les même qui cumulent les missions parce que justement trop peu de monde s’y intéresse et laisse le bon soin aux autres de s’en occuper sans pour autant leur témoigner tant de reconnaissance que ça. Ça apparait comme du, comme acquis alors que ça ne l’est pas. Ça apparait comme lointain, comme dénué d’importance alors que ça ne l’est pas. Et c’est bien dommage.

 

 

Pourtant, derrière toutes ces actions, comme la face émergée d’un iceberg ce sont des heures de travail, de réflexion, des réunions, de négociation, de démarchage, de discussion Facebook, des réunions où tout est voté (les prix des soirées, du Gala, la manière dont doit être organisé tel ou tel évènement, à qui on ouvre le tirage au sort, sous quelles modalités etc). C'est aussi un budget à tenir, des comptes à équilibrer

Idem pour les paces. Laissez-moi vous raconter l’histoire d’un concours blanc en décembre dernier qui comportait quelques fautes malgré la relecture des professeurs. Même pas 1% d’erreurs rapportées sur le total (et rassurez-vous en UE3 on en a fait aucun, surtout qu’on s’était relu et corrigé 15 fois en plus de la lecture des professeurs). Le soir même, déferlement, avalanche de critiques sur les réseaux sociaux. Injustifiées pour la pluparts, très violentes pour certaines dont j’ai gardé des captures d’écrans. 


Chacun d'entre nous peut aider à construire ce puzzle de la société que l'on souhaite promouvoir. Moi je le fais via mes actions à la corpo, au tuto, sur ce blog, YouTube, en étant délégué, réprésentant étudiant dans des congrès etc... Et vous ? Faites vous ou laissez vous faire pour vous ?

 

C’est la parfaite définition de ce que j’appelle la culture de l’acquis. C’est acquis qu’un concours blanc sera organisé, qu’il faudra des heures de préparations par des dizaines de personnes des mois à l’avance pour que ce dernier ait lieu. Et de n’avoir aucun remerciement derrière pour que de la critique derrière a été pour certaines personnes affreusement frustrant et décevant de voir récolté tout ça pour tant d’investissement au quotidien. Soyons clairs, je n’ai pris cet épisode qu’à titre d’exemple pour illustrer le billet et je parle en mon nom, et pas parce que j’en aurai été particulièrement aigri des mois après. Et prenons l’exemple de ma matière qui bien que sans errata s’est fait aussi critiqué car c’était soi-disant trop difficile. Il y a deux ans par exemple, mon concours blanc en optique était franchement dur. L’objectif étant qu’au pire ce serait niveau concours, préparait les gens à subir un coup de pression et qu’ayant cette expérience ce serait plus facile pour eux le jour J. Et au mieux ce serait plus simple tout court. Le professeur d’optique étant nouveau on ne pouvait savoir la difficulté du concours. Mieux valait se préparer au pire. Par chance, le sujet a été extrêmement simple, niveau fin de collège ou presque (j’exagère à peine). Du coup on m’a bien sûr reproché d’avoir fait trop dur.

 

Pas de chance cette année et ayant vu les statistiques de l’année dernière, le concours d’optique était non pas impossible mais assez difficile et déroutant pour la plupart des gens. Ces même personnes qui avaient pourtant trouvé que le concours blanc de l’année était trop dur se sont finalement rendu compte qu’il était presque même plus simple…

D’ailleurs l’ensemble de l’article peut aussi s’appliquer au tutorat. S’il n’y a pas chaque année des personnes motivées, prêtes à s’engager dans l’association, à la faire avancer, bouger, s’améliorer, il n’y en aurait plus l’année d’après. Là encore ce service gratuit n’est pas éternellement acquis.

 

Et plus globalement, je trouve que cet engagement chronophage mais au combien essentiel à la vie étudiante, à la vie universitaire, à pallier et suppléer ou venir renforcer les actions de la faculté. Par exemple quand on va représenter sa faculté, les étudiants de celle-ci en tant qu’élu UFR, élu CROUS etc dans les conseils d’administrations, les congrès d’étudiants qui vont voter des positions, des motions influençant au niveau national la politique. Quand le tutorat envoi ses tuteurs aux forums des lycéens évitant ainsi à la faculté d’envoyer des représentants qui ne s’y connaissent pas forcément aussi bien et ne l’ont pas vécu il si peu, n’est-ce pas au final venir suppléer ou à minima renforcer l’action de la faculté ? Quand il ira au ministère de l’éducation nationale pour intéragir avec les services officiels de la république et représenter l’excellence de sa formation soutenue et en partie financée par la faculté, n’est-ce pas important ? Alors qu’il n’y avait pas d’obligation et qu’il était possible de se contenter de faire le minimum… Et je pourrai continuer longtemps ainsi…

Et c’est pourquoi je trouve ça absolument nécessaire et essentiel que cet investissement soit revalorisé, tant aux yeux des étudiants qu’à celui de l’administration. Je ne fais que jeter une bouteille à la mer, et je dirai que pour chacun d’entre vous qui sera parvenu jusqu’ici et fait l’effort de lire et réfléchir, cette bouteille sera parvenue à destination.

 

Pour terminer cet article, je voudrais vous renvoyer vers un autre billet de blog que j’ai trouvé extrêmement concret sur l’importance et l’utilité de s’engager. Je vous en copie une partie ici et je vous mets le lien pour en lire l’intégralité plus bas. N’hésitez pas à me dire comment ça se passe chez vous, qu’est-ce que vous en pensez, c’est déjà un premier pas avant de s’engager ?

 

J'ai été élu étudiant

  • 29 JANV. 2016

 

 

Je suis étudiant à l'Université Versailles Saint Quentin depuis 7 ans, en 4e année de médecine, j'ai 24 ans. Pendant 5 ans j'ai été élu étudiant à la fac, pendant 4 ans au conseil d'administration, 2 ans au CA du CROUS et 1 an à la commission de formation de vie universitaire.

 À ce titre, j'ai examiné la maquette de ton diplôme, j'ai peut être participé à ta commission de discipline quand tu étais suspecté de fraude, j’ai fait face à la première crise budgétaire de notre fac, expliqué à tes profs ce qu'ils devraient faire pour que t'aies de meilleures notes,  j’ai travaillé avec leurs syndicats, mangé deux petits fours et bu une coupe de champagne au frais de tes droits d'inscription à la fin d'un conseil d'administration avec ton directeur d'UFR (c'était avant la crise budgétaire). J’ai été confronté au dilemme de devoir réviser mes examens de la semaine suivante ou réclamer une augmentation du budget dans ta formation pendant une réunion de 6h (j'ai tranché en faisant les deux en même temps), te négocier une année dérogatoire pour que tu restes plus longtemps dans ta chambre en cité U, insister sur le prix trop cher de ton steak-frites à la cafet' du CROUS ou bien transporter un carton de 200 demandes de bourses hors délai au service de la Vie Etudiante de ton CROUS.

            Je n'ai pas été indemnisé pour tout ça, je l'ai pas fait pour l'argent ou pour la gloire, mais juste car j'ai la conviction que quand on est étudiant on a des droits et qu'on doit les défendre. 

            L'objectif de mon article n'est pas de te convaincre de voter pour moi ou pour un syndicat étudiant particulier. Je ne citerai pas le nom du syndicat dont je faisais partie et de toute façon je me concentre dorénavant à mes études de médecine après 5 ans de service. L'objectif c'est de te dire combien il est important que tu t'y intéresses, que ça te concerne. Ça va du montant de ta bourse, au nombre insuffisant de papier toilette au RDC du bâtiment Vauban (ce qui a pour conséquence d'aller au 6e dans les toilettes propres des enseignants-chercheurs). Et surtout l'objectif c'est que tu t'engages, que tu ailles toi-même toquer à la porte des syndicats pour faire savoir que tu veux candidater.

On manque cruellement d'élus étudiants dans certains conseils de l'université. Personne sait ce que c'est et ne s'y intéresse vraiment. Je vois 3 raisons à ça :

 

Merci d'avoir lu mon article coup de gueule, allez lire la suite de l'article que je vous ai partagé qui est vraiment passionnant car son auteur est passionné, et surtout donnez votre avis, dites ce que vous faites, ce que vous aimeriez faire, pourquoi vous le faites, pourquoi vous ne le faites pas, ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas, les difficultés et les avancées, montrez à ceux qui liront l'article pourquoi votre engagement est important.

Ou au contraire, si vous êtes de ceux qui ne sont pas investit, qu'avez vous pensé de l'article ? Quel est votre avis sur le sujet, bref exprime toi !

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Commentaires

  • Manon
    • 1. Manon Le 23/01/2018
    Pour ma part, j’ai pris la décision de faire médecine, car je voulais avant tout me mettre aux services des autres. Dans mon monde idéal, c’était un peu une façon pour moi de donner de la valeur aux travaux des chercheurs en utilisant leurs trouvailles pour tenter de guérir les gens. J’ai toujours été fascinée par cet aspect de la médecine. D’ailleurs, je visite souvent https://www.inserm-transfert.fr pour me tenir informée de l’actualité. Je t’avoue que je me suis également éloignée de mon but en me consacrant que sur les études. Ton article m’a fait prendre conscience de pas mal de chose et je te remercie pour ce beau partage.
    • docjunior
      • docjuniorLe 23/03/2018
      Merci Manon pour tous tes commentaires sur le blog !
  • Soso
    • 2. Soso Le 06/04/2017
    J'ai été à la FAC et est bien participé à la vie associative. Cependant, tout le monde ne l'entend pas de la meme manière et certains ne souhaitent pas s'investir.
    Encore un article sympa merci à toi !
    • docjunior
      • docjuniorLe 14/04/2017
      J’espère que cet article justement incitera ne serait-ce qu'une personne à s'engager (même un tout petit peu) ;-)
  • yanis.elallaki
    • 3. yanis.elallaki Le 07/03/2017
    je ressens la même choose que toi même en tant que doublant (derniere chance et tout ça). je trouve ca important , je fais partie d'une association d'aide aux paces et c'est pas pour autant que ca nuit à la qualité de mon travail (jai été bien classé au s1 ,ouf!) bref. tout ca pour dire que dans le secteur médical,j'esperais trouver plus de personnes comme ça mais la paces fait parfois sortir le plus sombre chez les gens. j'espère j'esperais que l'an prochain (si jamais je reussis héhé) y'en au aurait plus mais bon tant pis mdrr
    • docjunior
      • docjuniorLe 07/03/2017
      Ecoute je te souhaite de réussir ! Et puis ça fera surement une personne de plus qui fera bouger sa fac, des comme toi on en voudrait plus ! Et tu soulèves un point très intéressant, c'est vrai que la paces peut faire ressortir la moins belle part des gens et en sélectionnant des personnes qui vont s'être plus renfermées sur elles même et qui n'ont pas toujours ensuite le profil d'engagement associatif ou d'élu étudiant. Oui tu as raison même si je ne vais pas non plus généraliser et qu'heureusement, il reste quelques personnes comme nous et d'autres qui font bouger un peu les choses !
  • Orso
    • 4. Orso Le 02/03/2017
    Je suis vraiment d'accord ! Pour l'instant j'ai à peine 18 ans et je suis en PACES... Ca n'aide pas à la vie associative. Pourtant si j'accède à la P2 j'aimerai sincèrement aider les PACES en devenant tutrice (pas de bonus, pas d'argent, juste de l'aide). mais ce que je rêve de faire par dessus tout et depuis trèèèèèèès longtemps c'est un voyage humanitaire. je ne sais pas où, quand, comment mais c'est un projet qui prend de plus en plus de place dans ma tête.
    Quoiqu'il en soit c'est vrai que le rôle et l'implication d'étudiants comme vous sont vraiment minimisés alors que vous êtes essentiels à la vie étudiante. Donc merci à tous les élus étudiants <3
    • docjunior
      • docjuniorLe 04/03/2017
      Et bien j'espère te voir future tutrice l'an prochain et lire tes billets sur ton travail de tutrice vu de l'intérieur ^^

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